première sortie de l'année dans le golfe du Morbihan à bord de "blue-note" le kayak chauveau
une pause pique nique sur une plage, devant une jolie maison aux volets bleus
seul au monde, seul sur l'eau, du soleil et une averse de grêle
que du bonheur
le mulot
Préambule
Ah les belles vacances ! Pas besoin d’aller très loin pour être heureux. Certains se rendent en Inde, les Rats ont choisi l’Indre.
Le Népal, c’est vrai, c’est joli mais les Rats, eux, de nez pâle ils n’avaient point à la fin de leur excursion ensoleillée.
Le Rajasthan me direz-vous, ça a de la gueule tout de même ! Je vous répondrai que lorsqu’il voit une jolie Ligérienne déambuler sur les rives, eh ben, le Rat déjà se tend, lui aussi !
Quant à l’Himalaya, faut reconnaître c’est une destination de rêve. Toutefois, Proposez à un Rat d’entonner un chant vantant les vertus du thé au beurre rance ou une chanson à la gloire du rouge et du saucisson, il vous répondra immanquablement : « Le chant sur le thé, NEIN ! l’hymne à l’ail, YA !»
Journée du mercredi 25 juillet 2012
Six heures trente. Le premier camion vient de passer avec fracas à dix mètres à peine de la tente occupée par Brigitte et Patrick. C’est râpé pour une grass’mat ! Ils avaient raison les Seigneurs du Fleuve : il est central le petit camping de Civray de Touraine. Ce qu’ils n’avaient pas précisé, c’est qu’il était longé par une route de desserte à côté de laquelle le périph Nantais passe pour un bucolique sentier de randonnée.
Une toilette de chat, pour les mecs. Une occupation intensive des lavabos et douches du camping pour les nanas et, bientôt Rates et Rats se retrouvent à la roulante devant un petit déj préparé amoureusement par Yves et Anne-Thérèse.
Hier au soir, Les frangins Marais, Vân et Patrick ont vainement tenté d’intéresser le reste de la troupe à une réflexion sur le parcours à effectuer le lendemain. Trop contents de s’être retrouvés sous les arches magnifiques du château de Chenonceau, quelques heures auparavant, les membres de l’équipe n’écoutaient rien et bavardaient comme des écoliers dissipés.
Ce matin, donc, il faut se décider. Ce sera un parcours sur l’Indre avec comme objectif le château de Loches.
Les préparatifs effectués, le convoi de véhicules s’ébranle en direction de Chambourg sur Indre, lieu de départ de la rando. Une équipe restreinte repart rapidement à la recherche d’un point d’arrivée où sera laissé le véhicule, équipé d’une remorque, des Seigneurs du fleuve.
L’affaire faite, retour des éclaireurs et départ de la bande sous les yeux énamourés d’un troupeau de vaches descendues s’abreuver à la rivière.
L’eau est claire, le fond sableux, des rais de lumières traversent les frondaisons qui protègent le cours d’eau du soleil de juillet qui cogne déjà en ce milieu de matinée. Les Rats sont heureux, ils boivent du petit lait.
(Eh oui ! ça leur arrive !)
Merde ! La balade risque d’être courte ! A peine deux cents mètres de parcours et la rivière est barrée par un énorme peuplier couché en
travers. Apparemment, pas de passage possible par en-dessous, il va falloir « enjamkayaker » l’obstacle !
Pour un baptême, Brigitte n’est pas déçue, elle se demande comment on va faire lorsque Ratabois la hèle pour lui indiquer un minuscule passage sous le tronc. Un vrai « trou à Rats » dans lequel elle s’engouffre avec, tout de même, un peu d’appréhension. Le reste de la bande suit et c’est reparti !
C’est beau, c’est sauvage, ça ressemble à un air de premier matin du monde … bref, rien que du bonheur ! Les embarcations glissent gentiment sur l’onde, au-dessus de longues algues vertes qui tapissent le fond ondulant sous l’effet du courant. On respire, on est bien !
Soudain, au loin, apparaît une chose étrange. Un truc qui ressemble à un gros ballon blanc, fait du yoyo à la surface. Ça s’enfonce, ça ressort, ça replonge, ça émerge de nouveau, c’est vraiment étonnant on se demande ce ça peut bien être ! L’OPNI (objet plongeant non identifié) se rapprochant, on s’aperçoit qu’il s’agit tout simplement d’un nageur au crâne dégarni qui remonte le courant de l’étroit cours d’eau en brasse coulée et de façon plutôt sportive. Arrivé à notre hauteur, l’homme met pied à terre, eh oui il n’y a pas beaucoup de fond, et engage la conversation. Le gars est plutôt petit, sec comme le compte bancaire d’un chômeur en fin de droits, mais vachement musclé. Quelqu’un lui demande si ça ne le gène pas de se baigner dans une eau peut-être malsaine. Ironique, le type lui répond que l’intérieur du bonhomme est sans doute plus pollué que la flotte qu’il y a autour.
Au bout d’un moment, le quidam prend congé et continue sa route, les Rats font de même.
La troupe pagaie une bonne demi-heure et pourtant, alors qu’on devrait être en vue du bourg de Loches, seules quelques habitations disparates indiquent une présence humaine en ces lieux verdoyants …
Ah, enfin … on y est ! Les habitations se resserrent. La petite troupe longe bientôt des jardins et arrière-cours dans lesquels déjeunent des gens assez étonnés de voir des embarcations à cet endroit.
Dire que ça sent bon, serait exagéré ; soyons clairs, ça puerait plutôt l’égout !
Les Rats sont bientôt bloqués dans un cul-de-sac, au pied d’une ancienne usine située au cœur du petit bled. Le soleil cogne dur ! En attendant Alain, qui est parti en éclaireur, certains s’abritent du cagnard sous une passerelle de béton sous l’œil goguenard voire un tantinet narquois de Ratabois 1er qui, lui, a débarqué. L’attente sera longue dans ce lieu peu ragoûtant.
Alain a trouvé une issue, ça repart. La rivière semble bien étroite, on se demande si on est sur le bon chemin et, de château, pas la
moindre trace !
Bing ! Surprise de taille, le cours d’eau finit dans la pelouse d’une propriété privée. Des meubles de jardin, une balancelle, jouxtent un magnifique moulin construit en tuffeau. De sortie, apparemment point, si ce n’est un minuscule ruisseau qui serpente à travers les orties et les ronces.
Dominique, tenaillée par la faim, s’installe sans se poser de questions et attaque le casse-croûte. Vân et un comparse se rendent auprès du proprio pour lui
demander l’autorisation de pique-niquer et surtout obtenir des informations pour se sortir de ce guêpier. En fait, il leur explique que la bande se trouve sur un canal parallèle à l’Indre, et
leur indique la marche à suivre. Gentiment, il invite aussi les Rats à visiter son moulin après le déjeuner. Stoïque, Dominique a continué de s’empiffrer et elle en est au café lorsque les autres
commencent à peine à sortir les provisions de leurs sacs.
Quelques instants plus tard, repus, Rates et Rats s’échouent sur la pelouse pour une sieste réparatrice.
La pause terminée, la visite guidée du moulin commence. Jean-Luc semble littéralement sidéré par ce qu’il découvre !
La troupe repart et atteint bientôt l’embranchement indiqué par le propriétaire du moulin. A cet endroit, c’est bien l’Indre qui coule et il faut le remonter si l’on veut voir le château de Loches … dont acte.
Zut, nouvel embranchement ! Faut-il prendre à gauche ou à droite ? Evidemment, les joyeux lurons font le mauvais choix et il leur faut rebrousser chemin !
Il faut ramer. Le château semble bien loin, le soleil donne, le temps passe …
Ah, ça y est ! enfin ! La troupe débouche dans un joli bassin ombré de saules pleureurs et décoré de jardinières de géranium. C’est beau
mais pas moyen de descendre, les quais sont trop hauts… enfin pas pour tout le monde ! L’Empereur, lui, a réussi à accoster et nonobstant l’heure tardive harangue ses sujets pour les inciter à
aller boire un pot en ville. Faut dire qu’il fait chaud bien sûr, mais la route est encore longue jusqu’aux véhicules.
Bon, longue, la route … chacun s’y attendait … mais à ce point-là, sûrement pas ! Après deux bonnes heures de navigation, toujours pas de bagnoles en vue et surtout pas de pont à l’horizon au pied duquel sont garés lesdits véhicules !
A cela on peut rajouter un cours d’eau au courant plutôt vif, qui oblige les fiers navigateurs à quelques prouesses techniques. Cependant, les sites traversés sont
de toute beauté, partout domine le vert. Les Rats n’oublieront pas de sitôt leur passage mouvementé sous les arches moussues d’un vieux pont. On les dirait construites séparément, sans lien entre
elles, comme semées dans le paysage. Nimbées de rais de soleil qui filtrent à travers le sous-bois, enlacées par le lierre, elles semblent irréelles. On se demande ce qu’elles font là car on
n’entend aucun bruit de circulation qui pourrait indiquer la présence d’un nouveau pont tout proche, reliant un village à un autre.
Certains se demandent si, malencontreusement, la bande n’aurait pas dévié de sa route une fois encore.
On décide d’envoyer Patrick et Jean-Paul en éclaireurs.
Alleluia ! Les deux émissaires ayant trouvé le point d’arrivée, n’ont que quelques centaines de mètres à effectuer en arrière pour retrouver les autres membres de la troupe, qui a doucement progressé, et leur apprendre la bonne nouvelle !
On débarque. Dominique et Alain se dessapent en un clin d'œil et, quasiment à poil, se foutent à l’eau comme, d’ailleurs, ils l’ont fait durant tout le séjour.
Après la navette de véhicules habituelle, retour tardif au camping, douches et pieds sous la table où les Rats sont attendus par leurs restaurateurs préférés qui, une fois de plus, font des prouesses.
La nuit tombe doucement sur le camp, les passages desmonstres mécaniques se font moins fréquents, de toute manière il en faudrait plus pour perturber le sommeil des Rates et Rats fourbu(e)s.
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Lundi 15 août 10H00 Lucie passe la dernière couche de vernis sur mon kayak
13H00 Départ de la maison
19H00 Arrivée au camping de Carennac, les copains: Yannick et Serge, Guy et Françoise, Jean Louis sont là et boivent une bière.
Nuit calme au bord de la Dordogne, elle semble avoir perdu 10 à 15 centimètres par rapport à son niveau de l'an passé.(pont de Carennac niveau + 60, + 15 à Tursac)
Mardi 16 août Nous partons de Carennac. Nous faisons une navette
touristique pour conduire les fourgons à Saint Sozy. Départ 11H00 (3 canoés bois: Yannick et Serge, Guy et Françoise, je fais équipage avec Jean Louis), Yannick et Serge prennent le toboggan à
canoé. Ils touchent vraiment beaucoup à la sortie, nous faisons glisser les autres canoés sans passagers.
Sur le parcours, ça gratte, ça fourmille,ça fait mal aux vernis, ça fait faim. Nous nous arrétons à 12H30 pour le casse croute.
Belle navigation, beau temps, Les vernis sont nickels ou presque, nous pourrons regratter demain pour vernir les cailloux. Nous nous promnenons dans les vielles
rues de Meyronne. Les figues sont jaunes et mures! Nous avons trouvé une canotière avec une Porche dans le garage!.. Nous envisagions de dormir sur le bord de la Dordogne, nous avons été
contraints de déménager, de l'autre coté de la route. C'était malheureusement à coté du camping qui faisait ce soir là une animation "bal année 80." La musique était assez bonne mais
forte!
Molkky à trois, trois éliminations!..
Mercredi 17 août Navette matinale et départ de Saint Sozy 10H00, à la levée des brumes. Nous
repassons sous le pont pour ne pas manquer un seul mètre de la Dordogne. Nous avons vernis quelques cailloux., mais moins que la veille. Il fait chaud, il fait rose pour certains, il fait très
chaud, il fait rouge pour d'autres, il fait suant, collant, dégoulinant, assoiffant pour tous. Jean Louis a oublié sa pagaie!
Morale: plus longtemps on a frais et moins vite on a chaud! (Françoise)
19H00 arrivée de deux Sourriseau et deux Fertache en voiture, elles ont eu bien chaud aussi...
20H00 apéro
Bonne nuit calme au camping de Saint Cyprien..
Molkky, abandon par manque de lumière!...
Jeudi 18 août Cénac à Saint Cyprien
Chaud, châteaux, chevennes, 23
kilomêtres, même pas peur!
Patrick mon cousin est venu nous retrouver pour une ballade initiation au canoé bois, il navigue avec Jean Louis (qui n'a pas oublié sa pagaie). Je suis sur le Léo de Serge.( Un bon kayak, stable, un peu plus lourd que le mien mais vraiment une belle ligne).
Nous sommes informés sur la vie des rivières, Patrick est un pêcheur à la mouche. On a croisé beaucoup de canoés en plastique, le coin est très touristique. Les villages sont somptueux, les falaises escarpées, l'eau chaude et les rochers moins affleurants que les jours précédents. Les filles sont venues pique niquer avec nous à la Roque Gageac (pastis du midi, bon appétit), nous en avons profité pour une formation à la botanique dans les ruelles du village:
Grenade
Agavias
Citronus et orangus
Kiwitus
Banania
Olibrius
Vignus pouritus
Grosso bella planta
Fougérus bizardus
Matus de pirogus...
Le soir, nous sommes allés à la fête du village et avons profité d'un repas gourmand au canard .
Molkky, pas de molkky, nous sommes rentrés trop tard!...
Vendredi 19 août,départ 10H30 de Saint Cyprien au pied du camping. Françoise fait relaxe, Sylvie et l'autre Françoise partent pour une rando sur le GR les filles restent à la piscine du camping. Jean Pierre a pris la route pour nous retrouver dans la soirée. La Dordogne est chaude, calme, frétillante, pétillante, apétissante, charnue, sexy,séduisante, miroitante, attirante, poissonneuse, sableuse, herbeuse, colorée, goûteuse... . Les adjectifs ont été proposés par chacun le soir à l'apéro, on comprend mieux ainsi certains qualificatifs! En fin de parcours à Limeuil (confluent de la vézère et de la Dordogne) nous avons remonté la Vézère sur quelques dizaines de mètres, ce sera pour demain! Nous avons eu chaud, très chaud, très très chaud. Il parait que c'est la canicule! Dans l'eau ça va, mais au soleil, c'est très très soif...Jean Pierre et Léo sont arrivés en soirée.
Molkky, 1 Sylvie, 2 Yannick, 3 Jean Pierre
Samedi 20 août Montignac Tursac sur la Vézère départ en voiture du camping à 9H15 pour une petit navette de 15 kilométres. Il nous aura fallu une heure!...
Certaines mauvaises langues vous diront
qu'on s'est beaucoup rallongé en passant par Sarlat, mais en fait, c'est juste que la montagne est belle et que l'on en profite pour faire un peu de tourisme...Nous sommes 11 à naviguer, c'est
une initiation pour l'autre Françoise et Anne. Le soleil brille encore très fort, nous avons eu chaud, très chaud, l'eau était bonne, trés bonne...
Conseil: Un peu de courant, pas trop de fond, une touffe d'algues vertes, un galet rond pour poser sa tête, on s'allonge et on est près du bonheur parfait!
Tout au long du parcours, grottes, cavernes, cascades, résurgences, chateaux et beaucoup moins de canoés en plastique que sur la Dordogne.
Molkky, 1 Yannick, 2 Guy, 3 Serge, tous les autres éliminés!
Dimanche 21 août Tursac Limeuil 26 kilométres sur la Vézère. Trés trés chaud, nous passons par les Eyzies de Tayac, Le Bugue, les hommes des cavernes ont bien choisi leurs sites. Quelques coups de pagaies, baignades, "c'est quand qu'on arrive", "Après le pont, il reste combien de ponts?" La fin du parcours devient difficile, les rochers affleurent, le soleil est en face et bas sur l'horizon, on ne voit plus les remous des obstacles, je perce le kayak, Yannick et Serge font de la balançoire sur un tronc d'arbre...Arrivée à Limeuil tardive, 9 canoéistes rendus et assoiffés. À 20 heures il fait encore 35 degrés à l'ombre, la nuit sera très chaude, le sommeil est long à venir. Sylvie reçoit la visite de hérissons dans la nuit!
Conseil:on remplace le galet rond par son gilet de sauvetage, c'est moins nature mais plus confortable...
Molkky, pas de molkky rentrés trop tard et trop fatigués!
Lundi 22 août Journée de repos: 8H00 25°, 11H00 32°, après on n'a plus regardé le thermomêtre, on
savait seulement qu'il faisait trop chaud! Au programme: douche, piscine, farniente, piscine, douche, repas frais, piscine, douche, tourisme aux eyzies, shopping, souvenirs, douche, piscine, douche, repas
frais, piscine...
On fond sur place!...
Molkky, 1 Yannick, 2 Jean Louis, 3 Françoise
Mardi 23 août Limeuil Lalinde sur la Dordogne.
Après une grande navette, navigation le long du single de Trémolat. On tourne à droite, encore à droite et encore à droite sur des kilomêtres, le vent est de face.
On arrive au pied de la falaise et on prend à gauche encore à gauche et le vent est... de face bien sûr!. Pas de courant, un barrage ferme le single, pas de cailloux non plus, il y a du fond.
Arrivés au barrage, nous constatons que la Dordogne n'est plus navigable. Nous sortons les bateaux. Il y a une mise à l'eau possible, à un kilomêtre: c'est très beau, des cygnes par centaines,
des cailloux par milliers des algues qui ondulent et qui cachent les galets ou le canal mais avec des rives très abruptes et pas de calle de mise à l'eau. Nous decidons d'arrêter notre parcours
là. Jean Louis et moi partons chercher les véhicules en stop. Avec une rame en bois à la main, la première voiture s'arrête (des hollandais dans une voiture allemande). Nous chargeons canoés et
kayak, nous prenons un pot sous les muriers. Les copains rentrent à Saint cyprien, je prends moi la route pour rentrer au bercail.
Mercredi 24 août Frossay, Pornic, Paimboeuf, Frossay
Mon programme de la journée n'intéressant personne, je laisse le soin à qui veut de faire le compte rendu des navigations suivantes.
Jeudi 25 août 7H00, 12° au thermomêtre de la voiture, je reprends le chemin du travail, toutes les bonnes choses ont une fin!
Christelle
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